Diagnostic du

réseau des

bancs publics

Des bancs pour de meilleures conditions de marche

Offrir un nombre suffisant de bancs sur les itinéraires piétonniers dans une commune est un moyen concret d’améliorer les conditions de marche. L’analyse du réseau de bancs permet d’encourager le mouvement au quotidien, notamment pour les parents avec des enfants ou les personnes âgées.

« La collaboration s’est faite de façon très constructive avec un apport de compétences important des cheffes de projets et une mise en place intelligente des étapes de réalisation du mandat » 
Marc Renaud
Membre de l’exécutif à Saint-Blaise (NE)
« La collaboration s’est faite de façon très constructive avec un apport de compétences important des cheffes de projets et une mise en place intelligente des étapes de réalisation du mandat » 
Marc Renaud
Membre de l’exécutif à Saint-Blaise (NE)

Recenser les bancs existants et compléter le réseau

Les bancs font partie intégrante du réseau piéton, tant pour les loisirs que pour la mobilité quotidienne. Ils répondent à différentes fonctions comme l’attente, le repos ou le délassement, en fonction de leur localisation. L’étude du réseau de bancs permet de savoir si l’offre répond aux besoins des usagers et de relever des informations sur les aménagements existants.

Méthode

  • Inventaire et analyse du réseau de bancs existants
  • Proposition d’ajouts de bancs
  • Diagnostic participatif sur quelques itinéraires (associations de quartier, seniors, etc.)
  • Périmètres d’étude : commune entière (en localité), quartiers ou secteurs stratégiques

Résultats

  • Rapport d’étude, cartes et tableaux de données
  • Données géoréférencées de bancs existants et proposés

Les communes suivantes ont étudié leur réseau de bancs 

Cugy (VD), Saint-Blaise (NE), Guin (FR), Lausanne (VD)

Impressions

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Questions fréquentes sur les aménagements

Conformément à l’art. 41 OCR, il est interdit de parquer des voitures ou des motos sur le trottoir. En revanche, il est permis de s’arrêter et de stationner sur la chaussée sur les routes secondaires, si les autres véhicules peuvent toujours passer. Abordez en premier lieu la conductrice ou le conducteur pour lui rappeler l’interdiction de stationner. En cas d’absence, vous pouvez glisser une note sous le pare-brise, pour rendre attentif à la gêne causée. Si le dialogue ne suffit pas, contactez le service de la police en charge de la circulation routière par téléphone, ou par écrit au moyen de ce modèle.

Conformément à l’art. 43 al. 2 LCR, les trottoirs sont réservés aux piéton·nes. Il n’est autorisé de stationner un vélo sur le trottoir que si un espace d’au moins 1,5 m demeure libre pour les piéton·nes (art. 41 al. 1 OCR).
Vous pouvez signaler par courrier les situations problématiques aux autorités communales, demander l’intensification des contrôles de police et/ou que des aménagements soient effectués pour améliorer le stationnement vélo.

Selon l’art. 43 al.1 LCR, il est interdit de circuler à vélo sur les chemins piétons, lorsqu’ils ne sont manifestement pas destinés à la circulation. Conformément à l’art. 43 al. 2 LCR, les trottoirs sont réservés aux piéton·nes.
Circuler à vélo sur le trottoir peut exceptionnellement être autorisé afin de sécuriser le chemin de l’école, conformément à l’art. 65 al. 8 OSR.
Vous pouvez faire remarquer poliment au cycliste en faute qu’il est interdit de rouler sur le trottoir mais cela peut entrainer des réactions négatives
Vous pouvez signaler par courrier les situations problématiques aux autorités communales, demander l’intensification des contrôles de police et/ou que des aménagements soient effectués pour améliorer la sécurité et l’attractivité de la chaussée pour les cyclistes.

Il arrive que les véhicules aient le droit de tourner en même temps que le feu est vert pour les piéton·nes. Ce cas de figure est souvent dangereux et cela vaut la peine de le signaler à la commune, d’autant plus si un chemin de l’école y passe.
Contactez le service de la mobilité de la commune par courrier électronique ou postal au moyen de ce modèle.

D’après la norme sur la circulation sans obstacle (SN 640 075), pour garantir l’accès aux personnes à mobilité réduite, le temps de vert pour traverser doit être calculé sur une vitesse de 0,8 m/s. Les personnes âgées en particulier ont besoin de plus de temps
La norme sur les feux de circulation (SN 640 837) prévoit min. 4 secondes de temps de vert pour traverser, plus min. 2 secondes de temps orange, soit min. 6 secondes en tout.
Si le temps de vert au feu est trop court, contactez le service de la mobilité de la commune par courrier électronique ou postal au moyen de ce modèle.

Selon différentes études, les piéton·nes ne devraient pas devoir attendre plus de 30 secondes au feu, 40 au maximum ; et si le feu est muni d’un bouton pressoir, pas plus de 7 secondes.
Si le temps d’attente est trop long, contactez le service de la mobilité de la commune par courrier électronique ou postal au moyen de ce modèle.

Selon l’art. 7 de loi fédérale sur les chemins pour piétons et les chemins de randonnée pédestre (LCPR), les passages piétons font partie du réseau piéton et doivent être remplacés s’ils sont supprimés. Dans le cas où un passage piéton est effacé près de chez vous, vous pouvez contacter en premier lieu le service de la mobilité de votre commune et demander :

  • s’il s’agit d’une route communale ou cantonale pour savoir quel niveau administratif est responsable
  • les raisons de la suppression du passage piéton et les mesures envisagées pour garantir la sécurité de la traversée.

Adressez ensuite une demande écrite, si possible signée par d’autres voisins ou des représentants de l’école, pour demander la sécurisation de la traversée. La garantie de la sécurité du chemin de l’école et l’accès à un arrêt de transport public justifient le besoin de traversée sécurisée.
L’argument de la fréquentation, en référence à la norme VSS SN 640 241 est souvent avancé par les autorités. Cette norme a valeur uniquement de recommandation ; aucune étude ne prouve qu’un passage piéton est peu sûr s’il est peu fréquenté.
Proposez dans le courrier une visite sur place avec des représentants techniques et ou politiques, des représentants scolaires, ou encore la police locale.

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